"Nous poursuivons les travaux de la nouvelle aérogare, nous changeons les tapis de bagage avec une nouvelle machine de sûreté qui correspond aux dernières normes européennes", explique Guillaume Branlat, président du directoire. Les anciens convoyeurs sont progressivement remplacés entre les banques d’enregistrement et les nouveaux tomographes détecteurs d’explosifs.

"Des bagages qui pour l'heure passent sur un comptoir provisoire de façon manuelle avant de passer en zone A et B pour être inspectés avant d'être mis dans l'avion."

Le président du directoire qui reconnaît tout de même que des petites pannes ont eu lieu.

Ces travaux dans la zone dureront jusqu'au 9 octobre, avant d'être déplacés vers une nouvelle zone. "Tous les comptoirs seront changés d'ici le premier trimestre 2025 avec un système de convoyeur et de tri des bagages à la pointe de la technologie et efficient."

Les agents de la Police Aux Frontières intègrent également progressivement de nouvelles aubettes de contrôle, les passagers à l’arrivée empruntent un escalier provisoire avant de rejoindre la nouvelle aérogare. Les aménagements en cours permettront une extension de 1.000 m2 de la salle d’embarquement à l’horizon 2026.

Avec un investissement de 65 millions d'euros, incluant un système de tri bagages neuf de 12 millions d'euros (bagages au départ et à l'arrivée) la société aéroportuaire a lancé les travaux en 2021.

L'équipement va permettre d'augmenter la capacité d'accueil de l'aéroport à 3 millions de passagers par an à horizon 2030.

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