Pour y célébrer le retour du festival BOA, le square Dom Bedos et ses jardins intimistes accueillent le festival réunionnais Electropicales qui tiendra les rênes avec un plateau promettant une exploration mouvementée du spectre des musiques électroniques.

Depuis l’autre côté du globe, les Electropicales partagent notre vision d’un festival : un amour de la musique qui se mêle à des engagements éco-responsables et à la forte intention d’impulser une dynamique sur sa scène locale.

Leur promesse est simple : développer la culture électronique de l’île en poussant ses artistes locaux. Le tout, à travers un line-up bien léché et un cadre idyllique ou les montagnes rocheuses côtoient l’océan.

- La programmation Electropicales -

Les artistes sélectionnées s’inspirent, chacun à leur manière, du patrimoine musical traditionnel en y mêlant avec talent les rythmes contemporains et métissés.

• Pangar

Dérivé de “prends garde” en créole, Pangar est un projet réunionnais né de la collaboration entre Lilian Boitel et Benoit Harmel. Pulsions maloya, influences club music, saccades soca ou dancehall : le duo développe un travail de recherche explorant les rythmiques de l’Océan Indien en les télescopant avec celles de la " bass music " européenne.

Ces sonorités surprenantes, hybrides et aux rythmes océaniques promettent un beau combo gagnant agrémenté par un large spectre d’influences et d’esthétiques musicales.

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• Loya

Il se murmure que Loya enferme les esprits de la nature pour les libérer lors de sets aux ambiances maloya. En tant qu’amoureux inconditionnel de la nature, son processus artistique consiste en la recherche des sons visant à refléter l’ambiance et l'énergie puissante procurée lors d’un instant en pleine nature.

Au travers de ses compositions, Loya appelle au voyage en mélangeant sonorités Occidentales et Réunionnaises. Ayant lui-même été influencé par ces deux écosystèmes singuliers, il décide de briser les tabous traditionnels pour créer une musique qui nous unit toutes et tous.

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• Insula

C’est après son cursus à l’Ecole supérieur d’art du Port que DJ Insula élabore un processus de création qui place l’hybridité au centre de ses travaux. Son dernier projet “Tromba” est un dialogue entre l’afro-futurisme et la musique électronique.

“Tromba” comme pour appeler l’esprit des princes et princesses défuntes. Insula est la promesse d’un voyage musical aux esthétiques singulières et passionnantes qui nous transportent hors des sentiers battus.

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Pour plus d'informations, rendez-vous sur le site des Electropicales.